04 October 2007

Chapitre 1

Kyle Landman
Français 108
Prof. Brant
9.28.07

Les Aventures de Bertrand et Fifi

~Chapitre 1~

Il était un voyageur. Comme un Tintin de ses temps, il explora partout avec son caniche Fifi. Après son quatorzième voyage à l’espace, Bertrand pensa qu’il vit tout et il était content. Il suspendit son scaphandre sur le cintre et il mit son engin spatial dans le garage avec son avion, sa montgolfière, son tank, et sa machine à remonter les temps. Bertrand pensa qu’il voulut de vivre ses derniers jours comme une personne normale. Une vie sans aventure et le danger. Une vie avec Fifi où ils purent lire le journal et prirent des promenades en parc ensemble. Bertrand voulut un changement, mais celui n’est jamais simple quand tu es le plus grand voyageur du monde…
Il vécut sous la mer. Il n’habita pas dans les grands palais des sirènes ou dans les bateaux perdu en mer (parce qu’il fatigua de la phrase « ohé du bateau ! »), mais dans une petite caverne d’une barrière corail. La caverne était cachée par l’algue et les poissons qui habitèrent dans la barrière corail aussi. C’était tranquille et mignon. Personne n’habita près de cet endroit et Bertrand adorait cela. Il fut très content ici, avec Fifi. Ils mangèrent des pétoncles géants avec du sel de mer et il y avait toujours d’eau pour les deux à boire. Leur vie fut confortable.
Bertrand était en forme et très grand. Ses cheveux, noire et luisant, étaient la couleur d’une nuit avec une pleine lune. Ses yeux bruns étaient la couleur de la terre. Sa peau était bronzée par son dernier voyage au soleil et il était très content de cela. Ce hâle du soleil fut le meilleur et Bertrand aimait être le meilleur. Fifi aimait être le meilleur chien. Sa fourrure était toute blanche et bouclé sauf pour une belle ligne de gris dans son dos. Elle était le plus beau chien du monde et Bertrand fut fier de Fifi. Ils habitèrent toute seule parce qu’ils pensèrent que tout le monde était jaloux mais il fut vraiment parce qu’ils furent trop snob.
Un jour, quand Bertrand et Fifi mangèrent leur petit-déjeuner des biscuits de mer, Bertrand vit un article au journal. L’article lut :
LE TRESOR ENSEVELI : LE PLUS GRAND MYSTERE DU MONDE !
« Mon Dieu ! » s’exclama Bertrand « Regarde, Fifi ! »
Fifi, ses yeux étaient grands, regarda l’article et sauta de joie.
« Oui, oui ! On départ maintenant Bertrand ! Mais on va où exactement ? »
« Bah, je ne sais pas ! L’article ne dit rien, mais il y a une carte. »
Bertrand dirigea à la carte. Ce fut difficile à voir quel type de carte mais c’était une carte avec plein de détails. Bertrand n’avait jamais vu une carte comme cela. La carte était d’un autre monde qui s’appela « Versailles ». Au centre de la carte était un fleure de lis doré. C’était une couleur éclatante, une couleur brillante. Tous les petits lignes guidaient au fleure de lis doré. Il était à cet endroit où on trouve le trésor enseveli.
« Magnifique ! » dit Bertrand. « Le plus grand trésor du monde ! »
« Nous avons besoin d’y aller, Bertrand »
« C’est vrai. Nous sommes les meilleures aventures du monde. Cette aventure est faite pour nous ! »
Leur excitation aveugla leur promis d’être normale. Pendant trois heures, Bertrand et Fifi cherchèrent l’endroit de la carte, mais sans succès. Fatigués et irrités, Bertrand pensa à son but pour lui-même et pour Fifi pour la première fois.
« Ay, mais non Fifi ! » Bertrand dit, « Il est trop fatiguant pour nous de faire des aventures toujours. Tu te souviens ? Regarde ce qui se passe maintenant. Il est trop ! »
Fifi regarda Bertrand et dit, « Oui, comme tu voulus Bertrand. » mais Fifi était triste. Elle voulut une autre aventure avec Bertrand.
La prochaine semaine, Bertrand et Fifi oublièrent la carte, l’aventure, le mystère, tout. Ils étaient très contents et leur vie fut normale finalement. Chaque jour, Bertrand et Fifi prirent des promenades ensemble aux prés d’algue et des poissons. Ils parlèrent de leurs aventures et tout qu’ils firent ensemble.
« Nous sommes les meilleurs aventures du monde, Fifi ! » Bertrand dit un jour.
« Je sais, c’est fantastique, non ? » dit Fifi. Elle sourit parce qu’elle fut fier.
« Cela n’est pas vrai ! » soudain, une petite voie dit.
« Qui le dit cela ? » Bertrand demanda.
« C’est moi, » répondit un petit poisson. Le poisson était jaune et il était très vieux. Il était caché par les algues. « Vous n’êtes pas les meilleurs aventures du monde. C’est vrai. »
Bertrand, fâché avec le petit poisson, demanda, « puis, qui sont les meilleurs aventures du monde ? »
« Je ne sais pas ! » dit le petit poisson, « mais je suis sure qu’il n’est pas vous deux. »
« N’écoute pas, Bertrand. » dit Fifi. « Le petit poisson ne sais pas qui sont les meilleurs aventures du monde. Il n’est pas capable de répondre à ton question. Il est fou. »
« Peut-être je suis fou, mais je sais que les meilleurs aventures vont trouver le trésor enseveli. Chaque jour, je regarde vous deux dans ce prés. Vous parlez du passé et pas du futur. Alors, je sais que vous deux ne sont pas les meilleurs aventures du monde. »
« Allons-y Bertrand, comme j’ai dit, le petit poisson est fou. »
Mais, a ce moment là, Bertrand oublia ses rêves pour une vie normale. Il seulement vit le trésor enseveli, ses yeux plein de l’aventure du futur.
Bertrand commença de chercher pour le lieu mystérieux « Versailles ». Il garda tous ses notes des aventures au passé, et il utilisa ses notes pour lui aider. Bertrand et Fifi cherchèrent pour n’importe quoi qui ressembla « Versailles ». Une fois, Fifi pensa qu’elle trouva « Versailles » dans ses notes du voyage au désert du Nord. Fifi vit un petit mark doré au centre du désert mais cela fut rien. C’était le château de sable d’Ali Babba. Une autre fois, Bertrand pensa qu’il trouva « Versailles » dans ses notes de l’espace. Malheureusement, c’était l’étoile qu’ils découvrirent avec les extraterrestres depuis neuf années. « Versailles » ne fut pas dans les notes de la forêt tropicale, ni les notes des montagnes, ni les notes du volcan. Bertrand était exaspéré.
« Je ne suis pas le meilleur aventure ! » cri Bertrand.
« Moi non plus ! » dit Fifi.
« Il est impossible. Nous avons trouvé tous les trésors du monde et nous avons vu tous les endroits, où est ce trésor ? »
Bertrand et Fifi se couchèrent très vaincu cette nuit. Ils ne se sentirent pas comme les meilleures aventures du monde. Bertrand réveilla un rêve horrible. Il était sous la mer et il vit des monstres et des choses trop horribles d’imaginer. Soudain, Bertrand se réveilla de son rêve et dit,
« Je comprends ! Je comprends ! Le trésor ! Il est ici, sous la mer ! »

1 comment:

Jake Yun said...

« Le trésor est sous la mer ? » demanda Fifi. « Mais… Comment tu es arrivé à cette conclusion-là ? »
« Bah… Je l’ai vu dans mes rêves et c’était trop réel pour être un rêve. Tu ne me comprends pas ? »
« Mais…ouais ! » répondit le gros menteur. « Attends, en même temps, c’est juste un rêve que t’en crois. N’est-ce pas trop absurde de conclure un sujet si important comme ça ? »
« Alors, qu’est-ce tu suggères ? Tu as des meilleures idées que la mienne, ou quoi? » se fâcha Bertrand, ressentant angoissé et vexé de son plan de n’importe quoi, ou plutôt de l’absence de plan carré.
« Calme-toi. Carrément, ton plan n’est pas trop concret. Quand même, ce ne serrait pas mal d’agir de temps en temps hors de l’instinct parce que c’est un élément crucial qui différencie les humains et les robots… » regarda Fifi quelque part de lointain sous sa philosophie clichée.
« Mais, toi, tu n’es pas humain non plus…tu n’es qu’un chien. Donc, tu n’as pas le droit de le dire, mec » commenta l’humain.
« Quel con ! Ce n’est pas le point ! Qu’est ce que tu as aujourd’hui ? Tu es malade ou quoi ? Pourquoi tu m’énerves comme…comme Sortrès ! (Sortrès était une fille que Bertrand aima tellement pendant sa jeunesse, mais il ne réussit jamais à la draguer car Bertrand était maladroit et un peu ringard).
Le silence remplit l’espace entre l’animal et 100 pourcent humain Bertrand.
Pour changer le sujet, Bertrand dit « Par contre, c’est cool que tu comprennes maintenant ce que je voulais dire... » Bertrand se battit à faire semblant d’être intouché par le commentaire, qui le fit se rappeler de la peine du passé.
« Fifi, chient… » se dit l’humain.
Après l’échauffement verbal du matin, les deux allèrent faire une petite promenade routinière. Ils pensaient constamment au trésor qui existait sous la mer, d’après le rêveur.
Pourtant, il n’était pas clair où exactement le trésor situa car la mer n’était pas un petit coin comme la maison de Bertrand.
« La mer est énorme ! » cri Bertrand.
« Quelle innovation, Bertrand ! Tu viens de le trouver ? Tu vas gagner le prix de Nobel, mon ami ! » tordit l’animal.
« Arrête! s’il te plaît. Ce n’est pas drôle… »
C’est au moment où Bertrand finit sa phrase, la personne que Bertrand détestait la plus se passa en lui donnant un coup d’oeil dégradant et condescendant. Au moins, c’était ce que Bertrand se percevait. Loin du trouble et de la souffrance de son camarade, Fifi sourit clandestinement car il était presque un plaisir de voir son partenaire se comportait d’une telle façon. En fait, Fifi commença à penser à la situation d’amour de Bertrand. Il n’eut jamais une petite amie. C’était un fait que Fifi ne rendit pas compte jusqu’à ce moment.
« Quand est-ce que la dernière fois que tu as embrassé une fille ? » demanda Fifi.
« Pourquoi ? Qu’est-ce tu veux maintenant ? » se fâcha-t-il.
« Non, c’est juste pour savoir, mec. Tu t’en souviens ? ou tu n’es jamais tombé amoureux ? »
Pour toute sa vie, Bertrand était sans amour. Il ne se souvenait plus de la dernière fois qu’il était fou amoureux de quelqu’une. Sa romance était cachée par ses aventures qui étaient toutes consacrées à son plaisir, non pour d’autres. Une réalité oubliée, qui frappa Bertrand à son dos, était une déception de la vie qu’il vînt de noter.
« Je suis seul au monde.» se dit il, n’étant plus capable de penser au trésor qu’il cherchait partout comme un fou. Il resta regardant dans l’espace sans mot, sans mouvement, sans amour.
« Ça va ? Qu’est-ce qu’il y a ? » Fifi essaya de réveiller son ami.
« Tu as raison. Je vivais toute ma vie sans connaître la vraie joie de la vie. Je suis égoïste ! Je n’ai jamais connu le parfum, la tendresse, ou n’importe quoi dont on parle de l’amour parce que je n’en ai jamais eu… ».
Fifi ne put pas le consoler car c’était une vérité inévitable, et rien n’eut aucun effet pour apaiser cette amertume de la solitude.
Après cette révélation son existence solitaire, Bertrand tomba malade et restait chez lui. Son meilleur ami Fifi ne fit que le regarder parce que rien ne poussait Bertrand à la vitalité et le temps ne l’attendait pas.
Un jour, après quelques semaines de sa dépression, Bertrand rencontra au hasard un vieil homme espagnole qui s’appelait Marqués de Cáceres. Marqués avait cent ans et il semblait un type de cent ans. On ressentait que cet homme avait incomptables expériences, et donc qu’il était sage. Marqués et Bertrand s’installèrent sur une roche énorme et sage, et ils discutaient jusqu’à leurs bouches devinèrent sèches. Bertrand raconta toutes ses histoires à partir du trésor à son statut célibataire. Puis il demanda une chose en espérant que le sage eut une réponse, « Que signifie la vie ? ».
« Bah… Je n’en sais rien » coupa le sage. Il continua, « J’ai l’impression que vous êtes dans la déche en ce moment, et ça se voit bien. Il faut être patient, amigo. C’est l’un des étapes que l’on doit subir afin de parvenir un endroit. Il est difficile de voir la lumière quand on est dans la cave, mais avec la patience et la prudence, vous arriverez à ce que vous cherchez. Et…dans votre cas, j’estime que c’est l’amour que vous manque.»
« Comment vous le savez ? » surpris était-il.
« Vous me l’avez dit, il y a deux minutes. Je crois que vous en avez déjà oublié. Calmez-vous et écoutez-vous. Il ne faut pas que vous vous précipitiez» répondit le sage.
« Dis donc, qu’est-ce que vous me suggérez à faire ? » interrogea Bertrand.
« Ce que vous cherchez n’est pas trop loin de vous, donc ne regardez pas par la fenêtre. Ce trésor que vous cherchez, cette fois, est assez différent de ceux du passé. Vous avez besoin davantage de attention, de sentiment, et surtout, de patience. Allez, il faut que je m’en aille. Bonne chance » partit l’espagnole.